Pour ceux qui ne veulent pas passer au Scenic Electric et qui trouvent le Captur trop petit, Renault a inventé le Symbioz. Ce nouveau SUV de 4,41 m de long, soit 19 cm de plus que le Captur et 15 cm de moins que l’Arkana, adopte les derniers codes esthétiques de la marque au losange. À partir de la plateforme CMF-B allongée du Captur, l’équipe de Gilles Vidal livre une nouvelle proposition moderne et à la silhouette parfaitement équilibrée. L’habitacle tire profit du nouveau gabarit, principalement aux places arrière. La banquette arrière coulisse sur 160 mm, ce qui permet d’arbitrer entre l’espace pour les jambes des passagers ou le volume du coffre. Banquette reculée au maximum, le rayon aux genoux est de 221 mm et le coffre revendique une capacité de 492 litres. Banquette avancée, le coffre gagne 132 litres (624 l). Autre atout du Symbioz, la banquette repliée libère un plancher parfaitement plat.
Contrairement aux dernières productions de Renault, le SUV Symbioz reste fidèle à la planche de bord du Captur et à son système multimédia reposant sur une tablette verticale de 10,4 pouces. Disponible à partir de la version Techno, ce système fonctionne sous environnement Google.
.Le constructeur français a soigné la présentation et les ambiances intérieures. Trois finitions sont au programme dont l’Esprit Alpine à l’ambiance plus sportive. Comme sur l’Espace et le Scenic Electric, le Symbioz pourra s’enrichir du toit en verre opacifiant Solarbay qui apporte une grande luminosité dans l’habitacle tout en assurant une parfaite protection solaire.
Symbioz reçoit la dernière évolution de la motorisation E-Tech Hybrid 145 chevaux. Elle combine deux moteurs électriques, une machine de 36 kW et un démarreur haute tension de 18 kW, et un 4-cylindres essence 1,6 litre de 94 ch. Ils sont associés à une boîte de vitesses intelligente multimode à crabots sans embrayage et une batterie de 1,2 kWh. Symbioz revendique une consommation normalisée de 4,6 l/100 km.